Mickaël est originaire des alpes du sud, né à Gap, il a grandi dans la vallée de L'Ubaye. Il commence le ski en club à l'âge de 4 ans, il évolue pendant ces années clubs en compétition jusqu'à l'âge de ses 17ans. Il s'oriente ensuite vers un DE de Ski Alpin. Parallèlement Mika touche à un peu d'autres sport de glisse, comme le snow, le surf, et surtout le Télémark.
L'idée de pratiquer le télémark ne vient pas de lui , mais de son frère aîné. Mika commencent le télémark avec une paire de chaussure en cuire et en plastique trop grande, il ne se rappelle plus exactement de la marque, même chose pour les fixations, tandis que les skis étaient une paire de freestyle.
Mais les piquets c'est pas son truc, il commence à toucher au freeride en télémark. Il tourne 4 ans sur le FWQ en France et en Europe, il va chercher 2 fois un top 30 français, et il fini 2 fois dans les 200 mondiaux sachant qu'il courrait dans la catégorie skieur. Il a aussi participé à la Freeheel Life Cup aux États-Unis, où il décroche un top 10.
Aujourd'hui, Mika a 29 ans, il est moniteur de ski dans la station de Praloup, et aussi ferronnier à Barcelonnette. En hiver, c'est télémark sur le Daggies avec une Meidjo, ou bien le Mika aussi équipé d'une Meidjo. Tandis qu'en été il pratique le VTT, et la randonnée, ainsi que l’escalade en bloc.
Et enfin ce qu'il aime en télémark c'est les grands espaces avec de la peuf et des cliffs et s'il peut trixer c’est encore mieux (au passage il aime aussi jouer dans les parks). Son spot préféré c'est la liaison entre Praloup et la Foux d’Allos. Et son spot de rêve c'est Haines en Alaska.
Son point de vue sur le télémark : « Pour moi, le télémark sort d’une étiquette vieillissante du fait que le matériel a évolué, et que de plus en plus de jeunes le pratiquent. Je pense que le télémark a encore des beaux jours devant lui. »
Le télémark de Mika est dans la finesse, petites fentes et beaucoup de hauteur.
